Alicia Kalimsha

Patronyme : Kalimsha
Prénom : Alicia
Surnom : La dame de coeur, l'insoumise, ou encore l'insouciante.

Âge : 25 ans
Nationalité : Française
Race : Humaine
Parti : Impérialiste
Classe : Bourgeoisie
Fonction : Bandit, Manipulatrice au sein de la société Autrichienne. Joueuse de sentiment, ou bien simple espionne. Appelez ma fonction comme bon vous semble.

Description Physique: Commençons d'abord par la description de mon irrésistible visage. Je dois avouer quand même que j'en suis fière, si fière que je ne peux m'empêcher de me regarder dans une glace qui pourrait se trouver à proximité. Il faut toujours que je m'arrange avec les moyens du maquillage. Un coup de crayon par-ci, un coup de poudre par là. Je sais, je suis disons très énervante, mais j'adore avoir ce comportement. Bien, commençons par les choses sérieuses. Ma chevelure très blonde, voire même blanche et soyeuse tombe en cascade jusqu'en bas de mes reins. Mes deux iris comportent une couleur bleu clair, comparable à une mer calme et réconfortante. Mes sourcils sont recouverts d'un noir profond, ce qui me rend encore plus fatale aux yeux de la gent masculine. Un rouge éclatant anime mes lèvres bien charnues. Ma peau douce est de couleur blanche, éclatante et aveuglante comme de la neige. Ma poitrine n'est ni trop volumineuse ni trop petite, ce qu'il faut, quoi ! Ma silhouette comporte des courbes parfaites, une finesse et une perfection absolue à mes yeux. Je sais, je semble peut-être très catin ou bien comment dit-ou déjà ? Ah oui, très narcissique. Mais j'aime jouer avec ça. Continuons, mes jambes frêles et minces se meuvent avec grande élégance dans l'espace. Mon fessier à des proportions convenables, tout en étant ferme et musclé. Mes pieds sont souvent équipés de chaussures à talon mais j'aime la plupart du temps me balader pieds nus. J'aime sentir ce froid sous la plante de mes pieds. Mes habits vont du plus clair au plus foncés, j'aime m'habiller élégamment. Et pour finir la plupart du temps, je porte de merveilleux décolleté mettant en valeur ma poitrine.

Description Caractérielle : Garce, c'est ce qui peut résumer convenablement mon caractère. Je vais quand même entrer dans les détails. Disons, que j'aime m'amuser avec les hommes. Je les manipule à volonté grâce à ma beauté aveuglante et mon corps qui en envie plus d'un. J'aime monter des stratagèmes, des plans et tout une panoplie de mensonge. Je suis une fine renarde qui use de sa ruse pour survivre. Coucher avec n'importe qui, cela ne me dérange pas, du moment que je tire des informations importantes de la personne bernée. Je suis assez démente, la vue du sang me donne un certain plaisir. Tuer une personne ne me dérange point du tout, j'y ressens une certaine aisance. Je suis sans pitié et j'ai des côtés un peu psychopathes. Mon calme est traître, car ma colère peut intervenir à n'importe quel moment. Cela surprend toujours mon entourage, car ma voix devient rauque et inhabituelle dans ces moments-là. Je considère la peur comme une pure source d'adrénaline, une sensation que je vénère, un moment que je symbolise par de petits frissons.
Je ne suis pas la petite femme frivole et innocente que vous pensez et oui, les apparences sont parfois trompeuses. Je considère la vie comme un passage, je n'ai donc aucune peur de mourir, de toute façon, cela ne change rien si cela arrive tôt ou tard. J'ai quelques petites manies, des tocs selon certains. Je ne peux m'empêcher de tout bien ranger, je déteste quand on me coupe la parole et bien d'autres choses. Il m'arrive souvent d'avoir des coups de déprime jusqu'à en pleurer. Et pour finir, quelquefois, je rigole sans raison, sans savoir pourquoi ou sans en connaître l'origine. Et oui, mon caractère vous semblera peut-être remplit de défauts, mais moi j'en pense tout le contraire.

Histoire:

Journal intime

15 février :

Je commence à en avoir vraiment marre. Il n'arrête pas de me frapper, de me hurler dessus si bien que je reçois ces ignobles postillons. Il me dégoûte, je le déteste. Cet espèce d'ignorant ne pense qu'à faire ça, il n'a donc aucune pitié ? Il trouve toujours différents moyens pour me torturer. J'en ai vraiment marre de pleurer tous les soirs, de sentir son haleine puant l'alcool, de ressentir ces douleurs. Cette ordure ne pense qu'à faire des parties de jambes en l'air avec toutes ces filles, ce gros crasseux n'arrête pas de vomir tous les soirs à cause de ces cuites. Ce n'est même pas un père, c'est un inconnu pour moi, un étranger qui mérite de retourner chez-lui. La maison est infestée par son odeur, sa transpiration aigre et horrible imprègne même mes vêtements. Plus jamais, non plus jamais je veux le revoir. Il mérite de crever, ouais de mourir comme un vulgaire batard. Il n'y a plus que ça à faire de toute façon, je vais le tuer et je vais prendre un certain plaisir à le faire souffrir. Cet homme infâme ne mérite que ça, de mourir ouais de mourir...

1 semaine plus tard :

Le soleil commençait à se coucher sur Paris. Les lueurs orangés éclairaient toute la ville ainsi que ses habitants qui se dépêchaient de rentrer. Alicia, elle, se trouvait chez-elle. L'adolescente était assise sur un canapé recouvert de poussière et en piteux état. Les jambes écartées et habillée légèrement, la jeune fille de 18 ans attendait son père dans cette position. Complètement avachie, sentant l'alcool à plein nez, Alicia n'avait plus aucun sens de la réalité. L'alcool lui tournait à la tête, surtout l'absinthe qui la rendait aussi nerveuse. Au bout de quelques minutes d'attente, la porte d'entrée s'ouvrit avec fracas et le père d'Alicia entrait en trombe dans le couloir. Son visage était rougi par l'alcool, une barbe de plusieurs jours assombrissait les parties de son fasciés, des dents jaunes et pourries enfin bref, on comprenait pourquoi Alicia en était dégoûtée. Entrant en titubant dans le salon, là où se trouvait Alicia, l'ivrogne se mit à crier :

« Tiens te vla, sale petite pestiférée. J'ai besoin de me défouler aujourd'hui, tu tombes bien dis-donc. Je n'ai même pas pu prendre cette fille de joie. Cette fille souillée par le sexe n'acceptait pas en dessous de ce que je lui proposais. »

Son rire ignoble retentit à la suite. Alicia qui était toujours avachie sur le fauteuil se mit à lui répondre d'une voix différente à d'habitude :

« Ben dans ce cas, tu as de la chance, moi je n'attends que ça. Cela va faire depuis si longtemps que je n'ai pas fait l'amour.»
Alicia positionna sa main dans son slip pour montrer qu'elle se touchait. Le père qui vit cette scène ne pouvait pas résister longtemps. S'approchant d'elle tout en riant, celui-ci se mit à lui répondre :

« Je m'attendais pas à une telle surprise ! En plus c'est gratuit ! !!»

Toujours plantée dans son fauteuil, Alicia attendait que son père soit tout près d'elle. Celui-ci enlevait son pantalon rapidement et maladroitement. Une fois le vêtement enlevé, Alicia se mit à pointer un couteau sur le sexe de son père. S'approchant du visage de son père précipitamment, Alicia lui dit à l'oreille :

« Tu ne t'attendais pas à ça !! Sale obsèdé !! »

La main d'Alicia fut si rapide qu'elle ne laissait pas le temps à l'ivrogne de répliquer. Du sang gicla sur les vêtements d'Alicia et de son père. Des cris affreux retentirent par la suite, des cris d'agonie et de souffrance. On pouvait maintenant apercevoir un moignon de chair qui pendait entre les jambes du père. Du sang sortait du morceau de chair, l'afflux sanguin coulait abondamment sur le tapis, Alicia elle, se tenait debout.

« Alors, maintenant qu'est-ce qu'on dit ?!!! Hein ?!! »

Prise d'une folie incontrôlable, Alicia plantait cette fois-ci le couteau dans le ventre de son père. Elle ne les comptaient même pas. Quatre, cinq, peu importait le nombre, ce qu'elle cherchait c'était de le faire souffrir. Des hurlements insupportables s'ensuivirent. Tout en l'observant, Alicia se baissait à la hauteur de son père et elle lui criait tout en lui tirant les cheveux :

« Alors? On souffre hein ?! Tu voulais profiter de moi !! Hein avoue !!! »

Le père n'arrêtait pas de pousser des plaintes affreuses, ainsi que des sons comparables à un raclement de gorge intense.

Profitant du moment, Alicia relâchait les cheveux crasseux de son père puis elle se mit a tournée autour de lui tout en l'observant calmement. L'absinthe l'avait rendu folle et c'est-ce qu'elle avait cherchée. Savourant ce moment, elle s'accroupit et se mit à rire intensément tout en l'observant se plaindre.

« Si tu savais comme ça me fait plaisir de te voir ainsi. Si tu savais ce que ça fait de te voir souffrir, de te voir à l'agonie, de te voir sous mon emprise, de te voir soumis. On a échangé les rôles à présent !! »

Alicia s'avança et positionna son genou gauche sur la poitrine de son père puis elle plaça, côté tranchant, le couteau contre la gorge de l'agonisant. Juste avant d'effectuer le moindre mouvement, l'adolescente cria au visage de son père :

« MEURS !!! »

Un mouvement vers la droite, une peau profondémment ouverte, un sang affluant rapidement puis un visage exprimant silencieusement une douleur indescriptible. La jeune femme regardait un moment son père qui essayait de s'accrocher à n'importe quoi. Puis peu de temps après, Alicia s'enfuya de chez-elle en courant sans même se retourner.

Alicia ne revînt plus jamais chez-elle. Elle s'était décidée de partir à l'étranger, plus précisément en Autriche.

2 mois plus tard

L'adolescente arpentait les rues d'Evergloth à présent. Elle ne savait pas où loger et elle n'avait surtout pas d'argent. Complètement exténué, crevant de faim, la jeune femme tomba à terre.
Depuis son arrivée à Evergloth, Alicia avait cherchée du boulot mais, en vain, elle n'en avait pas trouvé. Elle errait donc dans les rues ne savant plus quoi faire.

Alicia se réveilla en sursaut, elle n'était plus dans la rue, mais dans des draps blancs et propres. Une main réconfortante se posa sur son épaule et un inconnu se mit à lui parler :

« On est réveillé à ce que je vois ? Tu as eu de la chance qu'on t'es trouvé sinon dans les heures qui suivaient, tu serais sûrement morte. Nous t'avons pas nettoyé, il est plus préférable que tu le fasses toi-même. Je m'appelle Oscar et toi quel est ton prénom ? »

Complétement étonnée par cette surprise imprévisible, Alicia répondit au dénommé Oscar tout en balbutiant :

« Heuu, je m'appelle Alicia Monsieur. »

Un sourire s'afficha sur le visage d'Oscar à la vue de la timidité d'Alicia. Oscar était un bourgeois impérialiste, ses habits étaient élégant et propre. Son visage était jeune, ses yeux d'une couleur noire profonde et intense, ses sourcils légers et sa bouche fine.

A partir de ce moment, Alicia se trouvait entre de bonnes mains. Elle fut entraînée, conseillé et suivit par Oscar qui l'affectionnait de plus en plus au fil des années.
Alicia réussit à percer, à trouver du boulot et surtout une bonne situation.

Signes Particuliers : Aucun, à part ma naïveté et ma méchanceté.
Armes : Deux petits couteaux attachés à mon porte-jartelles

Validée^^